mercredi 6 octobre 2010

La playlist de la solitude

Eh oui, quand on est seul au travail, à essayer d'avancer sur les devoirs, on a besoin de musique. Une petite playlist bien sympa, avec différents rythmes pour varier les plaisirs et continuer à enchaîner. 

Let's begin with...
"Wolfgang Amadeus Phoenix", Phoenix. Eh oui, depuis la redécouverte je trouve que c'est un très bon album pour un lancement. De quoi? Je ne sais pas, un lancement. Là, c'est idéal.
Surtout avec Liztomania, le petit début au clavier qui dit "Prépare-toi, ça va commencer". Le titre qui ouvre l'album.
De plus, cet album est rempli de haut et de bas, qui relance le rythme (à Love Like a Sunset), comme un deuxième départ, un "T'es bien parti, mais t'inquiètes pas ça se relance".
Et tout à la fin de l'album, ça se termine avec Armistice, un dernier effort de la part de l'album qui nous permet de nous faire décoller, comme dans un avion. On s'envole et...



On explose avec...
"Alive 2007", Daft Punk. Là, c'est du lourd. C'est quel passage? Tout simplement dans l'avion, en haut, quand tu planes. C'est du bon, une musique plus agressive, plus tranchante. C'est puissant, ça nous emmène dans quelque chose comme "T'es à fond, donne ton maximum tu défonces tout !"
Le rythme cependant se calme au 3/4 de l'album, après One More Time/Aerodynamic et se termine en beauté avec le titre bonus Human After All/Together/One More Time/Music Sounds Better With You, le titre surpuissant. La fusion entre Daft Punk et Stardust, le mélange ultime.









(Dans la lancée on peut aussi prendre du...)
"Tourist History", Two Door Cinema Club. On s'est donné avec les deux albums précédents, on retombe dans l'épuisement. Et cet album, Tourist History, est léger, dansant. Il redonne encore un peu d'énergie, pour la fin. Je ne suis pas spécialement fan de toutes les musiques dedans, mais des titres comme Undercover Martyn, I Can Talk, Cigarette in the Theatre, What You Know, nous relance et finit en beauté le travail. 



Et quand le soir touche à sa fin...
"Plastic Beach", Gorillaz. L'album spécial qui a fait polémique. Mais c'est un album tellement bon à mes yeux. Il est travaillé, recherché, et permet de finir en beauté. Soit on l'utilise pour terminer la soirée, soit lorsque l'on rentre chez soi, c'est l'album qui concilie le toutVous savez, comme lorsque l'on sort après la douche, on se sent tellement libéré. Une sorte de calme après la tempête, qui nous emporte vers un nuage d'insouciance et de bonheurOn commence par le petit orchestre qui nous dit : "c'est bon, c'est la fin, tu peux souffler". Snoop Dog et sa voix qui fait pioncer intervient tout de suite après sur "Welcome To The World of The Plastic Beach" et c'est comme quand on nous berce, on nous endort. De nombreux titres nous font faire un tour du monde, pour terminer sur Pirate Jet, l'attaque des pirates pour amarrer sur terre : "T'es enfin chez toi".





Et c'est fini?
"The Resistance", Muse. Mais juste un titre qui passe en boucle, le temps de la douche seulement : Undisclosed Desires. Le titre qui accompagne ce moment qui nous lave de tout ce travail. Je le trouve tout juste bon, dans le sens où le rythme s'accorde avec ce petit moment, où on ferme les yeux, on se lave, on respire, on se détend, on renaît


Là, c'est fini. La playlist prend fin. On s'pose devant le PC, on mange, ou on va directement pioncer, un choix qui n'appartient qu'à nous même.

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